« Il y a un moment où c’est une question d’acte : qu’est-ce que tu fais avec ton pinceau, qu’est ce que tu fais avec ta bombe ? Du moment où tu es dans le graffiti, il y a une démarche publique, inattendue, spontanée, une démarche où la question de l’autorisation ne se pose pas. C’est pas pour autant que c’est une démarche contestataire. C’est juste que ça se fait, que ce soit légal ou illégal. Ça c’est du graffiti. »
« Aujourd’hui je me considère moins comme un graffeur, je suis moins dans ces démarches : faut bien remplir le frigo et le graffiti à la fâcheuse tendance de te le vider ! Si je dis que je fais plus de la peinture, c’est parce qu'il me semble que c'est vraiment ma démarche, mon rapport avec le mur, avec ce qu’est la peinture, un travail introspectif, politique, un travail de recherche également. »
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