« Mais l’intention et les lieux restent en lien au graffiti : je graffe surtout à la friche, dans les usines désaffectées… Moins dans les rues publiques, car ça me permet de prendre le temps de peindre ; que la production soit vue ou pas c’est pas le problème. C’est le temps pour travailler qui compte. Résumer l’esthétique graffiti c’est pas facile… Pour moi, l’école du graffiti, c’est l’école du contour. Ça rejoint un peu l’école de la BD, avec des contours de formes, de visages… Ça reste un des éléments les plus importants du graffiti. Depuis un bon moment, on voit des gens qui essayent de s’en abolir, qui font du graffiti, mais qui ont des productions qui rejoignent presque le graphisme, voire l’hyperréalisme. C’est assez complet finalement. »
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